Je ne serai jamais un fan des Flyers, pour des raisons qui me semblent évidentes. J'aime pas trop les goons unidimensionnels. Bon, Claude Giroux, je l'aime bien, mais y a toujours un Mike Richards ou un Dan Carcillo avec les coudes dins airs pour venir te rappeler que c'est les Flyers que tu regardes.
Le plus près que j'ai été d'être un fan des Flyers, c'est à l'époque de Pelle Lindbergh. J'étais tout jeune (8-9 ans) et je commençais à m'intéresser au hockey de la LNH. Les gardiens de buts m'intriguait énormément, on n'arrêtait pas de me parler de Ken Dryden et de l'incroyable pochitude de Doug Soetaert en comparaison. Pelle Lindbergh était le gardien de l'heure et son masque blanc avec les ti-trous pour les yeux m'avait séduit. Il était différent. Pis y s'est tué en char. Ma mère me l'avait annoncé le lendemain matin: «Y s'est tué, y était en bouèsson... Maudite bouèsson...»
Depuis ce temps, les Flyers sont accablés par la malédiction de Pelle Lindbergh et c'est peut être là un beau retour de Karma.
Pas de pognage de tête icitte. On garde la puck, des tites passes courtes, on patine. Si y faut, on la crisse dans le fond, on va la chercher, on crash le net, ça devrait rentrer.
There's Life in the Old Team Yet
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Credit: NHL.com
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